Analyse de A.U. du premier match

OREGON DAILY TIMES – Adrian Urlacher

L’UNION INACAPABLE DE GARDER UNE AVANCE

Le match avait pourtant bien débuté pour l’équipe de Ted Simpson. Une belle avance de 2 à 0 gaspillé et surtout une trop brève avance de 3 à 2 qui n’aura durée qu’une trentaine de seconde avant que l’Express crée l’égalité de nouveau, C’est finalement l’Express qui aura enfiler le but payant et qui a préserver son avance jusqu’à la sirène de la fin.

La défaite met un terme à une série de succès record. Dix-sept matchs consécutif sans perdre à la régulière et en récoltant au moins un point. Pas si mal pour une équipe qui n’avait pu faire mieux qu’un maigre 2-9-1 à ses 12 premiers matchs. Mais rendu à ce point ci, les chiffres ne veulent plus rien dire.

L’Union doit se regrouper et vite. Les séries 2 de 3 ne pardonnent pas et déjà l’Oregon n’a plus de marge de manœuvre. L’Union doit absolument l’emporter si elle veut poursuivre cette fin de saison de rêve. Et pour y parvenir Ted Simpson devra apprendre à ses joueurs qu’on doit continuer de jouer et de patiner lorsqu’on a les devants. Depuis les débuts des séries que l’équipe prend les devants à chacun de ses matchs et qu’en bout de ligne la fin de match fait pomper le cœur des partisans.

Cela leur a bien servi contre Gladiateurs et Bandits, même s’ils ont failli se faire jouer le tour. Mais cette fois l’Express n’est pas tombé à court. Les joueurs de l’Express, comme ils l’ont fait durant toute la saison, s’est battu et prit le dessus sur son adversaire.

La stratégie audacieuse de Ted Simpson a bien failli lui sourire. Anatole Lebret, qui n’avait pas disputé un match depuis une couple de pleine lune, sans être dominant, c’est montré à l’aise. Il a même obtenu son premier point dans l’uniforme tréflé avec une mention d’aide sur le deuxième but de l’Union, celui de Li Yang. Reste maintenant à savoir si le coach a été assez impressionné par le travail de Lebret pour le garder dans l’alignement ou s’il préfèrera le bon vétéran Gord Maly.

À tous mes dénigreurs

Comme vous le savez j’avais prédit une victoire de l’Union en deux petits matchs sans en faire une vérité absolue. Est-ce que je suis déculotté par la victoire de l’Express d’hier? Aucunement. J’ai dormi sur mes deux oreilles. Désolé pour Antoine Raymond, mais je ne suis pas politicien et ce que j’écris n’est en aucun cas une promesse. Simplement le plaisir de l’analyse et d’y ajouter une touche avec une prédiction.

D’ailleurs je ne rentrerai pas dans le jeu de notre mangeux de chips national. Mais faut quand même rectifier les faits d’un blogueur de salon, qui se cache probablement sous une fausse identité et qui le niveau d’analyse et la capacité d’absorption d’une roche. Mais son torchon qu’il a pondu hier était bourré de fausseté et sa compréhension déficiante de Québécois un peu trop nationaliste l’on fait déraper.

Premièrement, il serait bien d’informé l’ami Raymond que L’Express n’est pas la seule équipe Québécoise de La Sphère, puisque Québec à également une franchise. Bon d’accord ce n’était pas une équipe très riche en fibre mais tout de même… Faut croire que cet oubli cache mal le fait que Montréal se prend pour le nombril du monde.

Quand à ses accusations de racismes j’en ai que faire. Est-ce que je suis raciste envers les Québécois car je trouve leur médias agressifs et mafieux? Si les journalistes agissaient de la même façon à Calgary, Cincinnati ou Mexico, j’aurais la même réaction, la même analyse et le même texte aurait été pondu de ma part.

Quand je parlais de patriotisme, je visais l’expression large du terme et non celle que les Antoine Raymond du Québec s’en font en se l’appropriant à leur façon. Ces leçons de patriotisme étaient d’autant plus dérisoires qu’elle n’avait aucun lien avec le sujet. Les journalistes Montréalais n’agisse pas ainsi parce qu’ils sont québécois, mais bien parce qu’il agisse ainsi. Probablement que plusieurs journalistes couvrant l’Express sont fédéraliste et ça ne change en rien leur comportement.

C’est bien beau l’amour de la patrie, mais faut pas non plus monter au barricade et déclarer la guerre à quiconque qui ose critiquer les Québécois par une analyse n’ayant rien de politique. Mais quand on est assis dans son salon, c’est plus facile de fabuler et comprendre ce qu’on veut bien entendre.

Conclusion

Ce qu’il y a de plus ridicule dans cette affaire, c’est que la tempête médiatique qui déferle sur l’Express n’aurait jamais du en devenir une. Combien de journaliste de Cleveland, New York ou Dallas ont prédit une victoire de l’équipe hôte? Pourquoi la pensée du journaliste affecté à la couverture de L’Irish Union, doit absolument refléter celle de l’équipe au complet?

Si des gens se sont sentis attaqué par mon analyse qui n’avait rien de scientifique, c’est probablement qu’ils se donnent une importance qu’ils n’ont pas. C’est à se demander si Antoine Raymond n’est pas un joueur même de l’Express qui se cache derrière un pseudonyme pour exprimer sa paranoïa.